Je vais vous présenter aujourd’hui deux outils, le premier est un équivalent moderne de la baguette de sourcier, le second est l’Outil par excellence qu’un géobiologue doit absolument maîtriser (à moins qu’il soit “clair-sentant” bien sûr ).
Le lobe antenne
Il en existe de toutes les formes, de toutes les tailles, en cuivre ou en laiton…
C’est facile à fabriquer, on trouve des tutos sur internet, et on peut en acheter à prix modiques, voici l’outil idéal pour débuter.
Je fabrique les miens en cuivre au début des ateliers, les stagiaires partent avec… et jouent chez eux à détecter tout ce qu’on a vu en cours.
Comme les baguettes, vous la placez devant vous et vous demandez (dans votre tête ça marche très bien ;)) : “détection de …”. L’antenne va se mettre de côté quand vous arriverez dessus.
Cela vous permet de détecter tous les phénomènes géobiologiques que nous allons continuer à découvrir au fil de ces newsletters, commencez par le réseau d’Hartmann, déjà vu, vous entrerez de plain pied dans une autre dimension.
Le pendule
Nous entrons maintenant dans du lourd, dans le cœur du sujet. De nombreux livres, sites internet pourront vous en parler pendant des heures, tellement le sujet est vaste et les utilisations variées.
Il en existe de différentes formes, de différentes matières, adaptés à différentes utilisations.
En géobiologie, on démontre que c’est plutôt le pendule qui nous choisit, comme la baguette magique dans Harry Potter ! Alors si vous voulez en acheter un, suivez votre cœur.
C’est un outil universel quand on a appris à s’en servir… et souvent c’est là que le bas blesse : la pratique du pendule, comme celle d’un instrument de musique, demande du temps et de la persévérance.
Il m’a fallu plus de 6 mois pour commencer à me sentir à l’aise avec le mien, avec de la pratique quotidienne.
Outre répondre aux questions par OUI ou NON, ou éventuellement PEUT-ÊTRE, le pendule permet de localiser beaucoup de choses sur un plan.
Un géobiologue confirmé peut faire le diagnostic d’un terrain sur son plan, voire même un dessin griffonné.
C’est l’outil idéal pour poser un diagnostic sur une problématique : en procédant par élimination de tout phénomène potentiel, ou en confirmant ce que nous susurre notre petite voix.
Pour simplifier ce travail de débroussaillage (tout le monde n’a pas encore la liaison directe avec sa sorcière intérieure ;)), il existe de nombreux cadrans, du plus simple numéroté de 0 à 10, appelé cadran universel (on peut déjà découvrir beaucoup de choses avec), aux plus complexes.
Vous en trouverez plein sur internet, sur tous les thèmes possibles. Vous pouvez aussi bien sûr fabriquer vos propres cadrans, en fonction de vos besoins.
Le pendule devient vite un outil indispensable, le prolongement de soi, un ami intime à qui on peut tout demander.
Et puis un jour, vous vous rendrez compte que vous savez dans quel sens il va tourner avant lui… Alors petit à petit, on le laisse de côté et on passe à un autre outil, celui qu’on verra dans un autre article.
Rassurez-vous, j’ai toujours mes pendules, ils sont toujours sur moi, ce sont mes baguettes magiques, on ne sait jamais…
Payet
31 mai 2023 at 19h47Très intéressant, j’ai toujours voulu avoir une pendule, mais j’ai Lu que ça pouvait ouvrir des portes du coup, je suis plus trop tenté
Clotilde
1 juin 2023 at 8h10Bonjour,
Un pendule n’est que le prolongement de vous, il répond à vos questions.
Il existe des protocoles pour apprendre à s’en servir et quelles sont ses limites.
Nous avons prévu d’organiser un atelier autour du pendule prochainement, après celui sur les baguettes et le lobe antenne.
Clotilde
Pingback: Atelier : Les outils pour appréhender l’invisible partie 2 : le pendule – Ecole de magie de Nosyland
26 juillet 2023 at 7h48