Leur nom est intimement lié à la géobiologie

Physicien autrichien. Il a démontré que la vitesse d’une onde électromagnétique est sensiblement égale à celle de la lumière dans le vide. Il a mis au point un dispositif, la « ligne de Lecher », permettant de mesurer la fréquence et la longueur d’onde des ondes électromagnétiques.

L’antenne qui porte son nom a été conçue par le physicien allemand Reinhard Schneider (1925-2001), d’après les travaux de Lecher.

Quincailler surdoué, il se spécialise dans l’élevage des volailles. On lui doit le premier modèle de couveuse à air chaud, et d’autres machines encore utilisées aujourd’hui. Cherchant à connaître le sexe des futurs poussins encore dans leurs œufs, il se met à la radiesthésie et constate que le pendule tourne différemment en fonction de l’état de santé des animaux testés. Il met au point le premier biomètre et des cadrans de mesure d’un niveau vibratoire. Il détermine une unité de mesure de ce niveau vibratoire, l’unité Bovis UB.

Médecin allemand, il met en évidence l’existence d’un réseau quadrillé de courants qu’il qualifie de « telluriques », couvrant toute la surface du globe terrestre. Il remarque une pathologie plus élevée des malades couchés dans les lits placés aux intersections de ce maillage. En déplaçant les lits, les pathologies diminuent… Il fonde en 1961 un Centre de recherche pour la « géobiologie », terme qu’il a inventé pour qualifier l’étude des phénomènes qu’il observait. Son nom est associé au premier réseau tellurique découvert.

Médecin allemand spécialisé en bioclimatique, il a repris les travaux de Siegfried Wittman sur la découverte d’un réseau tellurique différent de celui d’Hartman. Ce réseau porte aujourd’hui son nom.

Physicien français, pionnier avec son comparse Paul-André Morel dans la recherche de « forces invisibles », aujourd’hui appelées « ondes de forme ». Il donne son nom au système Bélizal qui détermine des couleurs vibratoires propres à chaque individu, lieu, objet… plus ou moins nocives.