La nuit s’achève enfin…

L’Archimage, Roi par intérim de Nosyland venait de recevoir un message des plus étranges de son amie Clotilde !

La réunion du C.I.R.C organisée à l’auberge par l’archiviste avait porté ses fruits et l’idée de partir discrètement explorer le territoire du Grosyland pour comprendre de quoi il en retournait exactement ? Était sans doute une sage décision.

Bien sûr il y avait plein d’autres choses à mettre en place !

Renommer les lieux, réouvrir les écoles d’enchantement, restaurer la vraie foi, se constituer une flotte digne de ce nom, mettre en place un ministère du tourisme et aussi changer les timbres ^^

Sans parler de retrouver et de réouvrir les portails…

 

Au commencement, une plainte s’élève,
Telle une brise douce, fragile et brève.
Les voix s’unissent, sombres et émues,
Comme les murmures d’une âme déçue.

 

Les esclaves, dans leur sombre destinée,

Chantent leurs peines, leurs détresses éternisées.

Leurs voix, tels des rayons de lune qui luisent,

Traversent l’obscurité, en un chant qui susurre.

 

Nous nous retrouvons ici, entre l’aube et la nuit,

Là où les voix murmurées se confondent avec le souffle du vent.

Nous sommes les héritiers de l’ombre.

Les gardiens de l’énigme, prêts à dévoiler les secrets enfouis.

 

Leurs paroles s’élèvent, en une mélodie secrète,

Un poème sans fin.

Une chronique au-delà de l’aube.

Ce texte fait partie d’une série de texte 😉

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